Je retourne sous la fenêtre avec mon fusil à la main, le vieil homme me regarde et a l'air d'approuver mon acte. D'un geste rapide et précis je casse la vitre avec mon arme et vise l'homme qui tient l'autre par le col, il tombe comme une mouche, les trois autres qui se tenaient à coté de la voiture s'abritèrent derrière les portières de celle-ci afin d'éviter mes tirs intempestifs, l'otage profite de cette diversion pour s'échapper. Une fusillade interminable commence, le vieil homme sort un pistolet de sa poche et se joint à moi pour tirer. Au bout d'une demi-heure de combat acharné deux hommes sont étendu mort sur le bitume et les deux autres prennent la fuite. J'attend un long moment pour être sûr que personne ne revienne, je fais signe à mon voisin de me suivre et je sors dehors voir la femme couché sur le sol. Je dis:

- Elle respire encore ! Elle n'est pas morte, aidez moi à la rentrer à l'intérieur.

Nous la portons donc dans l'ancien commissariat et nous la couchons sur la banquette, le vieil homme dont je ne savais toujours pas son nom d'ailleurs disparaît un instant et revient avec une sorte de pharmacie, mine de rien il était bien organisé le vieux ! Au moment où il va pour la soigner, nous nous apercevons qu'un liquide verdâtre coule de sa blessure.

Que faire ? (2 choix).

A) J'écarte son vêtement afin de mieux voir la blessure.

B) Trouvant cela bizarre, je me tourne vers le vieil homme l'air interrogateur.