Je fouille dans le bureau ou nous avions passé cette drôle de soirée Gaspard et moi, je ne trouve que des broutilles qui lui servait pour la vie quotidienne. Je prend quand même le soin d'enrouler Gaspard dans sa couverture avant de sortir de la pièce. J'entre dans les autres bureaux, mais rien d'intéressant pour pimenter mon enquête, je décide donc de descendre au sous-sol, je découvre des cellules, je pense que c'était la prison à l'époque ou le peuple vivait encore ici. Des squelettes sont dans diverses positions suivant les cellules que je regarde, je marche dans le couloir central en tournant la tête de gauche à droite. Tout à coup je vois une cellule vide ou un journal traîne sur une banquette, la curiosité m'appelle, j'entre et j'entends un déclic, la porte métallique se referme comme attirée par un magnétisme, et de chaque coté du mur j'aperçois des pics qui se resserre vers moi.

Affolé, je cours dans un sens puis dans un autre, l'étau se resserre sur moi, je ne sais que faire, dans quoi je me suis aventuré, le sort s'acharne contre moi, tous les événements depuis mon arrivé sur Cyberbomette me reviens en tête. Je n'est vraiment pas de chance !

Je commence à sentir les pics qui me rentre dans les côtes, le sang dégouline le long de ma poitrine, je ne peut décrire ma douleur qui deviens maintenant insoutenable, voilà une mort digne d'un roman de barbare !

..........